Une nouvelle First lady Mela­nia Trump au passé sulfu­reux

Une première dame Melania Trump qui a fait la couverture en 2000 du magazine GQ en posant nu sur une fourrure .Une marron (ou petite amie) busty, serré dans serré et perché des robes sur des talons aiguilles quinze centimètres la plupart du temps avec une moue embellie avec le brillant  qui fera tourner les têtes de plus d'un chef de visite d'état aux Etats-Unis.


Mela­nia Trump en effet, l'amou­­reuse de donald depuis quinze ans, mère de barron, le cinquième et dernier enfant  du magnat de l'immo­­bi­­lier et son épouse depuis 2005, n'est pas du genre à faire de la publi­­cité en baskets dans les pota­­gers ou à jouer les ladies round the corner  dans les outstanding­­­mar­­chés pour se rappro­­cher de la ména­­gère moyenne comme l'a fait michelle obama ces huit dernières années. tout en clinquant et en « sexy atti­­tude », l'épouse du milliar­­daire mène l.  a. grande vie avec sa limou­­sine avec chauf­­feur,  un penthouse de a hundred thousands and thousands de bucks situé au sixty sixème étage de l.  a. trump tower, des rendez-vous botox régu­­lier et des problé­­ma­­tiques réduites à la gestion quoti­­dienne du petit person­­nel.

de quoi trou­­ver la maison blanche un brin fadas­­se… et envi­­sa­­ger un réamé­­na­­ge­­ment inté­­rieur tout en dorures pour cette ex-étudiante en archi­­tec­­ture qui affirme soute­­nir à 100% son mari bien qu'elle ne soit pas trop appa­­rue à ses côtés en campagne. pas assez « iden­­ti­­fiante », éloi­­gnée du commun des mortelles avec son visage de chat à la sophia loren aux yeux bleus, méla­­nia, aussi tape à l'oeil qu'une rési­­dence secon­­daire de dona­­tella versace est en effet restée oppor­­tu­­né­­ment dans l'ombre jusqu'à prédespatched.
séve­rine servat

même si on aurait tort de l.  a. sous-esti­­mer. automobile sous son front immo­­bile se cachent des pensées plus complexes qu'il n'y parait. ainsi cette très belle plante poly­­glotte -elle parle notam­­ment le français- n'a pas son pareil pour donner son avis à un président qui, en secouant l'opinion à coup de petites phrases, a quand même su s'offrir gratui­­te­­ment, selon les esti­­ma­­tions, une couver­­ture média­­tique équi­­va­­lente à 1,9 milliard de greenbacks, soit plus de l.  a. moitié de ce qu'hillary clin­­ton, sa prin­­ci­­faded rivale démo­­crate a amassé avec ses « seule­­ment » 736 millions de bucks.

bref, après les surdi­­plô­­mées hillary clin­­ton et michèle obama, mél.  a.­­nia, 45 ans, ajou­­te­ une word de soufre dont on serait presque curieux de sentir les effluves se propa­­ger dans les allées du pouvoir .